jeudi 18 février 2021

POLITIQUE OU PRAGMATISME ? L'après coronavirus...

 


De nouveaux dispositifs après la sortie de Crise Virale commencent à germer dans la tête des responsables des clubs sportifs ou des associations socioculturelles.

 Actuellement, l’équilibre est encore si fragile que tous les scénarios sont possibles mais les effets de la vaccination de masse de la population devraient déboucher sur des perspectives d’ouvertures peut-être vers la fin du mois de mai 2021.

 Mon petit-fils est major de sa promotion, préparant brillamment sa thèse de doctorat de biologie sur l'ADN et ses défenses génétiques ciblés sur la leucémie... 

Si 2021 est une année de guerre contre le Covid-19, les chercheurs, comme lui, sont persuadés que la bataille pour l'éradiquer ne pourra pas être gagnée. Les chercheurs pensent qu'après la vague Covid-19, les déferlantes virales se succéderont. 

 En effet, en réduisant l’espace vital des animaux sauvages avec la déforestation, en détruisant les écho systèmes, ils constatent que les animaux sauvages sont de plus en plus en contact avec les humains et que les mutations virales transmissibles sont de plus en plus virulentes.

Ils ne veulent pas semer la panique mais ils pensent qu'il faudra vivre avec les menaces de pandémies de plus en plus probables.

Vivre ! Il s’agit bien là de l’action intelligente de toute civilisation, de toute culture, de toute tradition...

Mais comment vivre le mieux possible malgré les risques ?

La nécessaire adaptation des habitudes sociologiques devient incontournable. Il faut anticiper pour mieux se défendre et pour mieux vivre ensemble.

La vie sociale est aussi importante que l’air que nous respirons.

Il ne s’agit donc pas se replier sur soi-même mais au contraire de s’ouvrir aux autres avec de nouveaux codes associatifs et relationnels.

Les responsables des entreprises, des associations, des clubs et autres groupes humains doivent donc réfléchir positivement pour dégager des pistes de protocoles adaptés à leurs activités, impliquant des regroupements lors des événements qu’ils organisent.

Les protocoles anti Covid-19 mis en place en septembre 2020 sur l’injonction des préfectures ont bien rempli leur rôle de protection. Les adapter à l’après-crise est donc possible et demande un travail d’analyse et de projection. 

Se posent aussi les questions d’hébergements, de restauration, des déplacements, etc...

C’est toute une logistique événementielle qu’il faut remettre à plat pour l’adapter aux nouvelles exigences.

Je désirais mettre en ligne des éléments de cet article sur le blog sportif que j'anime. Mes petits camarades pensent qu'il est politique et qu'il n'y a donc pas sa place. J'en prends acte et pas ombrage car je m'y attendais.

Mais les morts français des suites de la pandémie du coronavirus, sont-ils politiques ? Je ne veux pas me laisser aller à une vaine polémique et je n'y publie donc pas mon point de vue jugé partisan. 

Et pourtant confiné depuis bientôt douze mois pour éviter une contamination face à un organisme fragilisé, je ne considère pas l'absence de relation sociale comme une conviction politique mais comme une situation subie.

Je ne comprends donc pas que l'on n'anticipe pas en réfléchissant à l'après crise car il ne faudra pas abandonner les gestes barrières, il faudra prévoir la manière dont on gérera les rassemblements sportifs ou culturels.

Un de mes amis associatif n'est vraiment pas d'accord avec cette position ressentie comme trop pessimiste et trop politique :

"Cela fait un an que, tous les jours, dit-il, nous entendons parler, sur n’importe quelle chaîne de télévision, du nombre de cas, de morts, des masques et des 135 € d'amandes si on ne le porte plus...

Pas de cinéma, ni de théâtre... mais tout le monde dans le métro ! 

Des spécialistes qui disent que tel médicament est néfaste pour la santé bien que donné à des millions de personnes , etc…. bref tout et son contraire !

C’est triste de s’apercevoir que rien à l’échelon français, ni européen, ni à l’OMS, n’avait été prévu dans le cadre sanitaire en cas de pandémie ; pourtant, il y avait eu la peste à l'époque de la Renaissance, dernièrement la grippe espagnole en 1917 et la grippe tous les ans. Heureusement que cette maladie n’est pas transmissible par les oiseaux ou les insectes !

Nous sommes obligés de subir les injonctions des autorités et nous devons les respecter pour continuer l’action des clubs et des associations...

Dans une entreprise, les dirigeants mettent en place des protocoles d’urgence en cas de catastrophe avec leurs propres services. Mais pas les dirigeants d’un pays!"

Mon ami exprime une position clairement politique qui se décode entre les lignes. Ce n'est pas l'option de mon propos car c'est à l'échelle mondiale que l'on fut incompétent pour prévoir la catastrophe qui frappe l'humanité.

Ce que je proposais était une piste de réflexion pragmatique, respectant l'opinion de chacun.

 Un de mes beaux-frères est maire de son village et il attend des autorités un cadre à minima : "Il reviendra aux communes et aux associations de mettre en place des protocoles de protection adaptés à chaque activité qui sera soumise à une autorisation préfectorale en cas de rassemblement."
Voila qui est clair et qui justifie ma position. 

Ce week-end, les routes vers le midi sont bondées comme jamais. Les gens veulent partir de chez eux contre toute logique. Ils vont se retrouver sur les plages de la Côte d'Azure. C'est un relâchement  et un scandale qui dépassent l'entendement ! Coronavirus et ses variants se frottent les mains. 

Je ne comprends pas l'autorisation de circulation, de trimbaler le virus à travers toute la France. 

Par rapport à la pandémie je m'abstiens de tout parti pris. Je ne suis ni de droite, ni de gauche, je n'adhère à aucune idéologie mais je revendique le pragmatisme et la prudence car il y en va de ma survie. 

jeudi 11 février 2021

CULTURE DU VIOL ! ?

 


J'en ai ras la casquette de ce méli-mélo pseudo culturel. La minorité féministe veut nous faire avaler la culture du viol ! C'est à vomir

D'abord qu'est-ce la culture, notre culture française, européenne d'origine judéo-chrétienne ?

Il faut se poser la question... A vous de répondre avec vos tripes !

Notre savoir-faire, nos coutumes, nos traditions sont dénoncés par un féminisme militant dont l'idéologie voudrait nous faire croire que tout homme est un affreux sadique en puissance, un violeur qui peut en toute impunité trousser, importuner toute femme qu'il croise sur sa route. 

A ce que je sache,  la violence sexuelle, est le syndrome de l'aveu d'impuissance névrotique d'hommes paniqués par leur propre image. Ce n'est pas une "valeur" inculquée par une éducation mais un acte criminel depuis la nuit des temps.

La violence est la négation par excellence du respect de l'autre et de l'humanisme de toute civilisation.

Bien sûr comme toute déviance, la violence est un vecteur porteur dans la littérature, l'art pictural, l'art cinématographique, la bande dessinée, la danse, etc... Mais l'imaginaire, comme un film d'horreur, n'est pas un crime, il peut et doit être un dévidoir contrôleur des pulsions et n'excuse pas les passages à l'acte. Ceux-ci sont d'ailleurs anti-culturels par définition.


Comme toujours, quand une soupape de sécurité explose, les
mouvements extrémistes s'en donnent à cœur joie. 

Si l'omerta familiale est dénoncée, tant mieux, car libérée la parole protège. 

Mais de grâce ne mettons pas tous les hommes dans le même sac de culpabilité. 

La culture, la seule référence du bien face au mal, doit nous permettre d'en finir avec le fatalisme en instituant une justice individuelle dans le rapport homme-femme. Tout violeur est un justiciable et doit être puni par la loi quelque soit son statut social.

J'aime trop le mystère féminin qui équilibre ma vie et "La femme-objet" n'existe pas dans mes fantasmes. 

Cette "culture du viol" supposée est donc un non sens, car j'admire, j'aime, mon vis-à-vis, que j'ai la chance inouïe de tutoyer avec respect et tendresse.

Je ne suis pas un doux naïf et je n'ignore pas l'ignoble pédophile, violeur criminel qui peut se cacher dans tout homme dans certaines circonstances. Je n'ignore rien de l'absence de culpabilité mais la relation homme-femme est une histoire de désirs sordides ou sublimes. C'est un choix philosophique existentiel porteur de vie ou de mort. Mes yeux pétillent quand ils se portent sur mon choix de vie.

J'ai eu des collègues féministes engagées, je garde un souvenir amer de leur supposée défense de la cause des femmes. Leur combat gauchisant n'avait rien de démocratique et comme par hasard, célibataire sont-elles restées...