jeudi 11 février 2021

CULTURE DU VIOL ! ?

 


J'en ai ras la casquette de ce méli-mélo pseudo culturel. La minorité féministe veut nous faire avaler la culture du viol ! C'est à vomir

D'abord qu'est-ce la culture, notre culture française, européenne d'origine judéo-chrétienne ?

Il faut se poser la question... A vous de répondre avec vos tripes !

Notre savoir-faire, nos coutumes, nos traditions sont dénoncés par un féminisme militant dont l'idéologie voudrait nous faire croire que tout homme est un affreux sadique en puissance, un violeur qui peut en toute impunité trousser, importuner toute femme qu'il croise sur sa route. 

A ce que je sache,  la violence sexuelle, est le syndrome de l'aveu d'impuissance névrotique d'hommes paniqués par leur propre image. Ce n'est pas une "valeur" inculquée par une éducation mais un acte criminel depuis la nuit des temps.

La violence est la négation par excellence du respect de l'autre et de l'humanisme de toute civilisation.

Bien sûr comme toute déviance, la violence est un vecteur porteur dans la littérature, l'art pictural, l'art cinématographique, la bande dessinée, la danse, etc... Mais l'imaginaire, comme un film d'horreur, n'est pas un crime, il peut et doit être un dévidoir contrôleur des pulsions et n'excuse pas les passages à l'acte. Ceux-ci sont d'ailleurs anti-culturels par définition.


Comme toujours, quand une soupape de sécurité explose, les
mouvements extrémistes s'en donnent à cœur joie. 

Si l'omerta familiale est dénoncée, tant mieux, car libérée la parole protège. 

Mais de grâce ne mettons pas tous les hommes dans le même sac de culpabilité. 

La culture, la seule référence du bien face au mal, doit nous permettre d'en finir avec le fatalisme en instituant une justice individuelle dans le rapport homme-femme. Tout violeur est un justiciable et doit être puni par la loi quelque soit son statut social.

J'aime trop le mystère féminin qui équilibre ma vie et "La femme-objet" n'existe pas dans mes fantasmes. 

Cette "culture du viol" supposée est donc un non sens, car j'admire, j'aime, mon vis-à-vis, que j'ai la chance inouïe de tutoyer avec respect et tendresse.

Je ne suis pas un doux naïf et je n'ignore pas l'ignoble pédophile, violeur criminel qui peut se cacher dans tout homme dans certaines circonstances. Je n'ignore rien de l'absence de culpabilité mais la relation homme-femme est une histoire de désirs sordides ou sublimes. C'est un choix philosophique existentiel porteur de vie ou de mort. Mes yeux pétillent quand ils se portent sur mon choix de vie.

J'ai eu des collègues féministes engagées, je garde un souvenir amer de leur supposée défense de la cause des femmes. Leur combat gauchisant n'avait rien de démocratique et comme par hasard, célibataire sont-elles restées...

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