lundi 3 février 2020

L'IMMIGRATION EN QUESTION ?

La déferlante en Europe et en France des immigrés, que l'on soit humaniste de droite, du centre ou de gauche pose question et favorise la montée des populismes politiques depuis la fin des guerres de décolonisation.

Je mettrais tous les gouvernements successifs dans le même sac : celui du laxisme, du laissé aller, de la lâcheté.

Aucun n'a eu le courage de prendre de front le problème politique, aucun n'a pris des mesures courageuses et efficaces pour contrôler l'immigration avec fermeté, humanité et pragmatisme. C'est la fuite en avant depuis 50 ans !

L'inévitable arrive avec la colonisation de quartiers entiers de grandes villes par des communautés qui mettent en place des contre-pouvoirs idéologiques incompatibles avec l'état de droit républicain.
L'Education nationale qui devrait jouer un rôle de prévention et de barrage est débordée par ce problème même si elle parvient parfois à servir d'échelle sociale à des jeunes issus de l'immigration qui réussissent prouvant que notre système scolaire peut conduire à l'excellence.

Des maires ont cru naïvement acheter une paix sociale en permettant et même parfois subventionnant des associations communautaristes. Cette trahison du pacte républicain a facilité une conquête territoriale qui nous conduit inexorablement à de futures conflits violents dont on a du mal à imaginer les conséquences.

Cette situation est un terreau pour les haines irréversibles et le concept du "bien vivre ensemble" devient de jour en jour un mythe, un doux fantasme illusoire. 
Car de moins en moins de citoyens sont de bonne volonté et beaucoup trop sont exaspérés avec le sentiments de n'être plus maîtres chez eux. Il y a aussi des immigrés qui ne veulent pas se soumettre à la loi française et qui prétendre inverser le rapport de force en quelques générations.

Il y a un déséquilibre anthropologique flagrant dans notre société qui se veut pourtant égalitaire, fraternelle et libre. Mais que veut donc dire notre devise nationale pour des personnes qui n'intègrent pas notre culture, notre histoire, notre vision de l'homme ?

Le droit d'asile est une institution juste et humaine si elle est pilotée avec intelligence et lucidité,  mais la façon dont les gouvernements gèrent l'immigration est catastrophique car ce sont les migrants eux-mêmes, s'ils sont assez malins, qui décident de rester en France avec le droit du regroupement familial, le droit du sol, le droit à la nationalité française par le mariage, le droit de suivre des études, le droit à la régularisation et d'accéder aux prestations de l'Etat. 

C'est absurde car aucune exigence de contre partie n'est clairement posée. C'est une fausse interprétation des droits de l'homme.

Je n'ai rien contre les personnes venant d'ailleurs qui doivent être respectées en tant que telles mais la moindre des choses c'est qu'elles acceptent  la LOI  française et l'appliquent. 

Les zones de non droit sont inadmissibles. Tout étranger qui transgresse le droit français doit être immédiatement et définitivement expulsé.

Ensuite demeure un autre problème colossal. C'est celui des français qui se convertissent à une fraction religieuse qui ne reconnaît pas la primauté de la Loi Civile sur la Loi soit disant divine. 

Entendons-nous bien, je n'attaque pas une religion et la foi. Je respecte cette liberté fondamentale de croire en Dieu. Je dénonce seulement le choix de refuser la Loi civile et institutionnelle du pays d'accueil ou du pays où on est né.

Ces français peuvent devenir tout simplement des ennemis de l'intérieur et des terroristes.. Peut-être que la loi martiale serait justifiée face à ces irréductibles ?
Leur dé-radicalisation est un échec et témoigne de notre naïveté coupable.

Là encore c'est une question de volonté politique. 
Il faut être réaliste, ceux qui nient la situation de guerre idéologique sont des menteurs. Nous sommes en guerre intérieure pour longtemps et nous risquons de la perdre car l'abandon de nos valeurs est indéniable, alliée à une courbe démographique négative 

C'est trop facile d'accuser l'Europe. Chaque nation européenne peut si elle en a la volonté politique limiter les entrées sur son territoire. 

Par exemple, le Portugal applique une politique de fermeté telle que les migrants n'essaient pas de s'y installer. L'encadrement stricte des prestations sociales, la reconduite des clandestins montrent que ce pays reçoit 7 fois moins de migrants que les autres pays européens.

Ce n'est donc pas une question d'adhésion à une idéologie d’extrême droite pour laquelle je ne voterai jamais, c'est seulement du bon sens et une volonté de vivre en paix dans mon pays.

J'essaie seulement d'ouvrir les yeux, de comprendre les enjeux, et encore une fois je renvoie tous les partis politiques dans les cordes du ring. Ils sont incapables aveugles ou lâches. Ils parlent sans jamais appliquer ce qu'ils osent dire. ( 3 février 2020)




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