jeudi 4 avril 2019

CONSTERNATION Et DISCERNEMENT !

Les réseaux sociaux s'agitent avec un appel "national" à manifester à Rouen, samedi 6 avril. 
-Rouen gazée (photo de presse)-


Gilets jaunes irréductibles, anarchistes,  blacks blocs, extrémistes violents de tous bords se promettent de saccager magasins, mobilier public, banques et tout ce qui représente notre civilisation pour faire avancer leurs causes. C'est de la folie idéologique et il y en a vraiment ras-la-casquette !

Si le droit de manifester est inscrit dans notre république, il y a des limites, car le respect des biens, la sécurité et l'ordre sont aussi des droits fondamentaux. 

Rouen est une des trois villes les plus touchées par les dégradations depuis l'émergence des gilets jaunes. 
Les plaintes des commerçants, entre-autres, sont tout-à-fait significatives de leurs difficultés et de leurs inquiétudes. Plusieurs déposent leur bilan et mettent au chômage leurs employés. 

Mais les gilets jaunes sur les réseaux sociaux estiment quant-à-eux que leurs avancées justifient ces 21 samedis de violences et que les déficits liés à leurs actes ne sont que justice ! 

Je suis consterné, car il n'y a plus rien à espérer de ces gens là qui ne se réalisent que dans la haine. 
Leurs destructions montrent qu'ils n'aspirent qu'à la guerre civile. Ils n'ont rien à foutre des propositions pour sortir de la crise et vont donc continuer leur "tour de France" ville après ville chaque samedi semant le bordel, la chienlit, la violence et la misère.

Que peut-on attendre de ces fous furieux  qui se moquent bien de l'interdiction de la préfecture de manifester dans le centre-ville ?

Ils se sentent tous puissants, en ne reconnaissant plus aucune autorité, ils osent s'auto-proclamer "LE PEUPLE". 
Ce ne sont sont que d’infâmes minus qui bafouent les vrais pauvres qui à cause d'eux resterons le cul à ras de terre. Ils tuent l'espérance !

J'ai beaucoup de considération pour les tous premiers gilets jaunes qui avaient construit une solidarité conviviale sur les ronds-points, ils exprimaient leur mal vivre d'une façon qui méritaient d'être entendue et prise en compte par le pouvoir car une grande partie de leurs revendications était justifiée. 

Ils n'ont pas su fédérer et déléguer. Ils ne se sont pas organisés autour d'un axe fort et se sont dispersés sans structure. 

Et ils se sont fait rouler dans la farine par les médias, les partis politiques et les extrémistes violents. Où est-elle aujourd'hui leur espérance ? 

Oui, je suis convaincu qu'ils ont toujours besoin que l'on les écoute, qu'on les considère et qu'on leur tende la main en prenant des mesures simples, pragmatiques pour leur restituer le respect qu'on leur doit et qu'ils vivent enfin mieux tout simplement.
Je ne les associe donc pas aux casseurs et compagnies...




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