vendredi 1 mai 2020

RÉVOLUTION

Christophe RICHARD propose sa 3ème partie de son article en nous livrant les perspectives de sa pensée. Je souhaite profondément qu'il se trompe et j'ai du mal à admettre une vision aussi pessimiste de notre avenir.

Partie 3 suite et fin.


Lorsque la crise sanitaire du Corona Virus a éclaté, la pandémie a mis brutalement le Monde à l’arrêt. L’industrie, le commerce, les transports, les administrations, etc, ont quasiment cessé leurs activités du jour au lendemain.
Du jamais vu !
En France, comme ailleurs.

Le Président de la République, lors de ses allocutions a bien expliqué la situation, et il a martelé que « l’État paiera » ! On a bien senti la peur d’un soulèvement général provoqué par la crise financière, industrielle, et donc sociale qui se profile à très court terme.
« L’État paiera ! » mais avec quel argent ? Voilà des décennies qu’on nous rebat les oreilles que les caisses sont vides, et que l’on ne cesse d’augmenter les impôts, qu’on refuse les augmentations des petits salaires, que l’on sacrifie les services publics faute de moyens, mais là, « L’État paiera ! »

Sauf que l’État Français ne pourra pas demander l’aide de ses voisins ni de l’Europe, qui sortiront eux aussi exsangues de la pandémie.
Tous les états seront confrontés à cette même situation : le bord du gouffre d’une révolte générale.
Une révolution à l’échelle mondiale...


-JAZZU :La Révolution-






































Alors ?
Il semble que tous les ingrédients soient réunis pour arriver à cette révolution.
Le ras le bol des peuples, de tous les peuples, qui ne croient plus un mot des dirigeants, qui voient la misère arriver à leurs portes, et qui savent que la crise ne durera pas quelques mois, ni quelques années, mais des décennies !
La porte ouverte aux révolutions.


Depuis le début de la pandémie, de cette crise historique, les spécialistes de tous bords et de toutes disciplines nous disent que le modèle planétaire actuel est à bout, et que c’est l’occasion maintenant de changer nos modèles, qu’on n’a pas le choix. Il ne sera pas possible de continuer à fonctionner comme si de rien n’était ! Sans doute ont-ils raison, et depuis le temps que les lanceurs d’alertes crient sur les toits que l’on va dans le mur, voilà l’occasion à saisir.

Ce sera de gré ou de force. Les gouvernements qui resteront droits dans leurs bottes seront violemment éjectés. Les autres plieront, mais ils seront rapidement remplacés par des citoyens neufs.
Actuellement, les gouvernants sont aux abois et angoissés. Ils ont peur, cela se sent, cela se voit.

Il n’y aura besoin que d’une seule étincelle…
Christophe RICHARD (1er mai 2020)







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